Hardcore Gladiator Guest Art Is Anal 23 02 2007 Herleen (NL)

HARD CORE GLADIATOR - 23 – 02 – 2007 HERLEEN (NL)

Quatre mois ou presque, depuis ce fameux week end du trois novembre qui marqua mon esprit et me revoilà parti en terre sainte du kick pour cette soirée au titre hard porno gay : HARDCORE GLADIATOR.Pas gay pour autant, Art Is Anal aka Armaguet Nad et Fist Of Fury étaient enfin conviés à jouer leur Live.dans l’arène..
Après un trajet direct vers Maastricht en compagnie de P’ti Fab et de VinVin, la pause coffee est des plus appréciables. Il est seize heures ce vendredi après midi, le soleil hivernal illumine les rues animées du centre ville sous haute vidéo-surveillance, les filles sont toujours magnifiques et la beuh aussi forte.
Herleen, dix huit heures, nous retrouvons Nad et Fist aux cotés de Jibé et sa douce, au coffee shop Capricorne que je déconseille vivement car le patron n’a pas apprécié ce regroupement de français et nous as mis dehors après que nous ayons acheté quelques grammes de psychotropes à fumer.
Pas grave, on en profite pour manger ( Un super méga top bon excellent hamburger maison avec des frites en vraie pomme de terre !!!) et boire à la brasserie d’en face.
V.I.T.R.I.O.L. , le troisième Droogie arrive avec succès à la gare d’Herleen et s’échappe un moment au coffee shop cité plus haut.. Il est vingt heures trente.
Un détour par l’hotel des deux compères et nous arrivons sur place à vingt et une heures trente.
A l’opposé du vaste entrepôt qui avait été occupé par ZMK /Antinarcose, la soirée se déroule au sein du club Peppermint, un complexe de quatre salles qui organise aussi bien des soirées Pin Up ou encore Années quatre-vingt que des évènements Hardcore.
Fist et Nad joue dans la salle Terror/Speedcore en compagnie entre autre de Speed Freak et d’AngerNoizer La régie DJ ne pouvant accueillir leurs machines, faute de place, des tables sont rapidement installées dans le prolongement d’un bar et les duettistes bénéficient alors de la façade en guise de retour ! Les balances s’en trouvent alors grandement facilitées mais ne sont pas achevées quand le Peppermint ouvre ses portes à vingt-deux heures.
Ce n’est pas grave puisque la salle Terror ouvre à vingt-trois heures et que déjà résonne la gabber made in NL dans la salle principale. Gros son, plein de lights, et gros kicks à cent quarante b.p.m., le reve de Speedloader d’autant que son idole mixe dans cette salle.
Pourtant l’énergie juvénile (et par conséquent enthousiaste) du public (hollandais à quatre vingt pour cent, Belges et Allemands à dix neuf virgule quatre-vingt dix neuf pour cent et le faible zéro virgule zéro un pour cent français) se savoure avec délectation. Qu’elle soit underground ou en salle surchauffée, le timide touriste s’imprègne rapidement de l’ambiance festive et le voilà qui esquisse quelques tressautements qui ne cesseront qu’avec l’arrêt du son.
Alors que le premier DJ entame son mix hardcore indus acid dans la salle terror, le MC annonce dans la salle principale, deux noms connus dont je n’avais jamais entendu le moindre mix : Miss Hystéria et Lunatic qui m’ont fait jumper malgrès les nappes de synthés qui ne sont justement pas ma tasse de thé..
Vodka, Redbull, Pakistanais et vous avez là trois ingrédients qui composent un cocktail neuronal et énergétique des plus sympathiques sauf qu’il est interdit de fumer des joints dans la boite !!!
Le public toujours de plus en plus nombreux afflue en masse quand le MC arrange la foule pour présenter Party Raiser celui qui fait suinter d’extase Speeddloader !
Et je comprends son fanatisme car loin de mes préférences musicales, le sieur Raiser maîtrise l’audience alors prête à tout et me fera bien plus transpirer que Anger noizer qui joue speedcore dans la salle Terror.
Gros bastonnage Angry et Noizy mais dommage qu’il joue si tôt car je n’ai entendu que le dernier quart d’heure.
Une heure, du matin, énième vodka redbull et séance roulage derrière le filet de camouflage qui isole Art is Anal du public qui découvre avec une curiosité teintée d’un intérêt enthousiaste cette facette de la France.. Les deux compères se répartissent le taf en alternance, Nad au sampler / Fist au mix puis l’inverse et le live gagne en intensité et ravive des forces cachées dans ma carcasse.
Opération danse non stop entrecoupée de pause Vodka/Redbull/Pakistanais et lâchage total sur le dancefloor. Le live est écourté car Speed freak doit commencer son set plus tôt car son timing est serré. Le public est chauffé à blanc et ce sont les Français qui mènent la danse devant des jeunots éberlués par la vigueur des papys qui s’agitent depuis plus d’une heure.
Du coup il est obligé de reprendre la ou les deux Droogies ont arrêté ! .
Du coup il a commencé son set dans les deux cent quarante b.p.m. !
Du coup il a tout pété, motivé comme jamais !
Du coup, pur set et bon souvenir même si quelques aménagements d’horaires ont atrophié le live d’Art Is Anal !
Le dernier Dj était très bon dans un style industriel péchu, bien mixé et idéal pour finir d’achever nos gambettes échauffées.
Cinq heures du samedi matin, la soirée se termine, une pause à l’hôtel, enfumage et chuchotements avant de prendre la route à sept heures.
Retour à Paris à Onze heures du samedi matin.
Dodo…

Stereotommy

Très bon report

Partyraiser

PAPA !

ça avait l'air bien la haut ! :evil: :evil: :twisted

en fait thomas t'aurais pu faire journaliste ace que je vois!